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«{J’ai eu la chance d’obtenir un congé de formation après seulement deux demandes, ce qui m’a permis d’avoir du temps pour préparer le concours sans avoir à jongler avec mon activité professionnelle et donc sans sacrifier ma vie de famille. Je me suis lancée dans la préparation sans trop y croire, en me disant que quoi qu’il arrive cette formation serait l’occasion d’un petit ‘rafraîchissement’ intellectuel bienvenu après vingt ans d’enseignement. J’ai donc retrouvé les bancs de la fac (pour un temps seulement, nous sommes rapidement passés au distanciel) avec plaisir. La formation m’a donné un cadre de travail car, seule chez moi toute la journée, les tentations de ne pas lire Henry James ou la chronologie de la BBC étaient grandes. Mais heureusement, les collègues sympathiques et motivés étaient là, les enseignants bienveillants et encourageants aussi, et finalement j’ai réussi à m’accrocher et à travailler dans la durée. Bien sûr, la chance a aussi été au rendez-vous et à ma grande surprise, me voilà admise ! Sur bien des plans, cette année fut difficile mais aujourd’hui je suis juste ravie d’avoir atteint cet objectif qui, il y a quelques jours encore, me semblait bien inaccessible.}» {{Marion GAUTIER, lycée François-Truffaut, Beauvais}} «{Je suis certaine que sans la formation universitaire et les journées de formation en didactique, je n’aurais jamais progressé autant, ou aussi vite. Je recommande vraiment de suivre les cours à l’université, et de préparer les exposés en EPC afin d’acquérir les méthodes de travail et la rapidité dans la réalisation des exercices. Se replonger dans l’anglais permet de nourrir sa pratique professionnelle. Il est judicieux d’envisager cette formation et son activité d’enseignant comme complémentaires, et de nourrir sa pratique de la théorie qu’on acquiert. Etre conscient que cela nécessite beaucoup de temps, d’investissement, et de sacrifices. Mais le jeu en vaut la chandelle !}» {{Annelyse GREZIAK, lycée Delambre, Amiens}} «{Si passer l’agrégation interne m’avait tout l’air d’une montagne à gravir, surtout en tant que professeur en activité, cet objectif est cependant atteignable, au prix d’un investissement considérable sur une année. J’ai notamment pu rapidement progresser grâce à l’aide et à la disponibilité de professeurs de l’UPJV. Afin de s’entraîner, des travaux sont demandés, s’ils ne sont pas obligatoires, me forcer à en faire un maximum m’a permis de me ré-habituer aux épreuves universitaires (dissertation, commentaire). En plus des cours, les professeurs apportent une correction personnalisée aux travaux soumis, ce qui m’a apporté une aide précieuse. Des concours blancs sont également organisés, ainsi que des colles pour les admissibles. Tout cela a pu avoir lieu malgré le distanciel, et s’entraîner en temps limité a été un « plus » car cette limite constituait pour moi l’une des difficultés du concours. Il est nécessaire de se consacrer pleinement à la formation, même s’il est difficile, et parfois douloureux, d’y dédier tout son temps libre. Par ailleurs, la durée de préparation étant finalement courte, lire les livres (avec les introductions, très utiles) et me constituer des fiches de citations avant le début des cours m’a permis de gagner un temps considérable. J’ai aussi apprécié que la formation à l’EPC commence dès la fin du mois de juin, cela permet de s’entraîner lors d’une période moins chargée et de répartir l’effort sur une plus longue durée. Il ne faut vraiment pas hésiter à se porter volontaire pour soumettre des travaux et / ou passer à l’oral, les conseils apportés sont toujours bénéfiques et bienveillants, et cela permet par ailleurs d’arriver aux épreuves orales en maîtrisant mieux le format des épreuves d’ESP et d’EPC. Pour terminer, même si nous avons toujours des périodes difficiles lors d’une préparation aussi exigeante, il faut se dire qu’avec les bases solides de la formation, accompagnées d’un travail autonome et continu, il est possible d’y parvenir.}» {{Alexandra BUCAILLE, collège Jacques-Yves Cousteau, Breuil-le-Vert}} Lire aussi [le témoignage de Marie-Noëlle Legrand->281]

Agrégation interne

Pourquoi il faut s’inscrire !

Chaque année, des professeurs de notre académie s’inscrivent à l’Agrégation interne et suivent les cours de l’UPJV mais également les stages de préparation de l’oral proposés au PAF.
Trois des 4 lauréates de la session 2021 témoignent.

« J’ai eu la chance d’obtenir un congé de formation après seulement deux demandes, ce qui m’a permis d’avoir du temps pour préparer le concours sans avoir à jongler avec mon activité professionnelle et donc sans sacrifier ma vie de famille. Je me suis lancée dans la préparation sans trop y croire, en me disant que quoi qu’il arrive cette formation serait l’occasion d’un petit ‘rafraîchissement’ intellectuel bienvenu après vingt ans d’enseignement. J’ai donc retrouvé les bancs de la fac (pour un temps seulement, nous sommes rapidement passés au distanciel) avec plaisir. La formation m’a donné un cadre de travail car, seule chez moi toute la journée, les tentations de ne pas lire Henry James ou la chronologie de la BBC étaient grandes. Mais heureusement, les collègues sympathiques et motivés étaient là, les enseignants bienveillants et encourageants aussi, et finalement j’ai réussi à m’accrocher et à travailler dans la durée. Bien sûr, la chance a aussi été au rendez-vous et à ma grande surprise, me voilà admise ! Sur bien des plans, cette année fut difficile mais aujourd’hui je suis juste ravie d’avoir atteint cet objectif qui, il y a quelques jours encore, me semblait bien inaccessible. »
Marion GAUTIER, lycée François-Truffaut, Beauvais

« Je suis certaine que sans la formation universitaire et les journées de formation en didactique, je n’aurais jamais progressé autant, ou aussi vite. Je recommande vraiment de suivre les cours à l’université, et de préparer les exposés en EPC afin d’acquérir les méthodes de travail et la rapidité dans la réalisation des exercices.
Se replonger dans l’anglais permet de nourrir sa pratique professionnelle. Il est judicieux d’envisager cette formation et son activité d’enseignant comme complémentaires, et de nourrir sa pratique de la théorie qu’on acquiert.
Etre conscient que cela nécessite beaucoup de temps, d’investissement, et de sacrifices. Mais le jeu en vaut la chandelle !
 »
Annelyse GREZIAK, lycée Delambre, Amiens

« Si passer l’agrégation interne m’avait tout l’air d’une montagne à gravir, surtout en tant que professeur en activité, cet objectif est cependant atteignable, au prix d’un investissement considérable sur une année.
J’ai notamment pu rapidement progresser grâce à l’aide et à la disponibilité de professeurs de l’UPJV. Afin de s’entraîner, des travaux sont demandés, s’ils ne sont pas obligatoires, me forcer à en faire un maximum m’a permis de me ré-habituer aux épreuves universitaires (dissertation, commentaire). En plus des cours, les professeurs apportent une correction personnalisée aux travaux soumis, ce qui m’a apporté une aide précieuse. Des concours blancs sont également organisés, ainsi que des colles pour les admissibles. Tout cela a pu avoir lieu malgré le distanciel, et s’entraîner en temps limité a été un « plus » car cette limite constituait pour moi l’une des difficultés du concours.
Il est nécessaire de se consacrer pleinement à la formation, même s’il est difficile, et parfois douloureux, d’y dédier tout son temps libre. Par ailleurs, la durée de préparation étant finalement courte, lire les livres (avec les introductions, très utiles) et me constituer des fiches de citations avant le début des cours m’a permis de gagner un temps considérable.
J’ai aussi apprécié que la formation à l’EPC commence dès la fin du mois de juin, cela permet de s’entraîner lors d’une période moins chargée et de répartir l’effort sur une plus longue durée.
Il ne faut vraiment pas hésiter à se porter volontaire pour soumettre des travaux et / ou passer à l’oral, les conseils apportés sont toujours bénéfiques et bienveillants, et cela permet par ailleurs d’arriver aux épreuves orales en maîtrisant mieux le format des épreuves d’ESP et d’EPC.
Pour terminer, même si nous avons toujours des périodes difficiles lors d’une préparation aussi exigeante, il faut se dire qu’avec les bases solides de la formation, accompagnées d’un travail autonome et continu, il est possible d’y parvenir.
 »
Alexandra BUCAILLE, collège Jacques-Yves Cousteau, Breuil-le-Vert

Lire aussi le témoignage de Marie-Noëlle Legrand

Mise à jour : 11 mai 2021